Après le Brexit, retour à la case “plan de casse”. Plus de plan Mellick pour renouveler la flottille, mais destruction programmée. Nos chalutiers bigoudens sont mis en prison à Brest avant de passer entre les griffes d’un engin qui va les broyer jusqu’au plus petit morceau de matière.Et voilà le résultat! Ici, pas de sous-marin en exercice pour détruire un des fleurons de la pêche bigoudène.
Tout se fait au grand jour, me direz-vous, oui mais il n’y a pas de morts ! Détrompez-vous ! Cet anéantissement d’un outil de travail assurant les revenus de plusieurs familles de marins, sans compter les emplois induits à terre, est un geste réfléchi de mise à mort, sous des prétextes nébuleux, par ceux qui ont fait la promotion de ce qu’on a appelé le “Brexit”, de toute l’économie d’une région appelée Pays bigouden. Mais pas que ; le problème va toucher toute la côte et effacer du paysage des acteurs économiques fondamentaux et créer, outre l’injustice de ces choix, de la misère pour les matelots, leurs femmes et leurs enfants. Et cela pour des années. 26 chalutiers d’un seul coup, rendez-vous compte de l’impact pour la pêche artisanale !
Dans son mémoire1 consacré aux fontaines du Sud-Ouest du Pays bigouden, Mireille Andro effectue « un véritable retour aux sources » en dressant un inventaire exhaustif de ces lieux où, « de tradition millénaire », on allait puiser l’eau, élément indispensable à la vie. La commune actuelle de Plomeur compte donc, en 1994, 100 fontaines recensées : 67 existantes, 5 comblées, 24 détruites et 4 sous forme de toponymes. A Treffiagat, elle en compte 22 : 13 existantes, 1 comblée, 6 détruites et 2 toponymes.
La fontaine de ND de Treminou, haut-lieu de la révolte des bonnets rouges.
Quant à Guilvinec (section de Plomeur qui constituera en 1880 la commune de Guilvinec), on y trouve 12 : 4 existantes, 1 comblée, 7 détruites. Il est intéressant de mettre ces chiffres en parallèle avec les 115 villages de Plomeur, dont 12 à Guilvinec, ce qui permet de conclure que chaque village a sa fontaine ou que chaque point d’eau de la commune a vu la population s’y fixer et créer un hameau.
Les fontaines de Guilvinec
Kerfriant, détruite vers 1930, pas de consommation humaine ; un puits aujourd’hui condamné avant le cimetière.
Kergoz, détruite vers 1960, à l’ouest du manoir ; elle alimentait un lavoir et un abreuvoir à vaches. Il existait aussi un puits dans la cour du manoir.
Kermeur, existante ; n’a pas tari lors de la sécheresse de 1976 ; située à 80 m au sud du menhir ; un lavoir situé près du ruisseau est aujourd’hui détruit.
Fontaine de Lanvar (près de la ferme de Kermeur)
Saoul Kanap Du (Eteule de chanvre noir)2; comblée, recouverte par le gymnase Manu Berrou.
Kervennec, détruite ; 1 m de profondeur, margelle en granit, tarie en été. Toutes les fermes avaient un puits ; deux lavoirs indépendants.
Le Ménez, détruite en 1950, à l’ouest de l’atelier municipal ; son eau est « consommable », mais devient salée par remontées de l’eau de mer lors des grandes marées.
Feunteun Mari-Anna ar Poul, du nom d’une lavandière populaire dans le quartier (sud du stade de Lagat-Yar), de construction récente (en 1970 par Xavier Cossec). On peut cependant imaginer qu’une source existait déjà bien avant à cet endroit.
Un lavoir dans le même secteur, détruit vers 1970.
Poul-ar-Palud, place du 14 Juillet, lavoir de la place, détruit.
Le lavoir de Poul-ar-Palud, aujourd’hui sous la place du 14 juillet
Poriguénor, à l’ouest de la ferme, à 7 m de l’avenue de la République ; existe encore ainsi qu’un lavoir à 3 m de là. Autrefois, il existait un puits, aujourd’hui recouvert par la route ; là aussi, on note des remontées d’eau de mer lors des grandes marées. [Le toponyme indique un ancien marais salant ; voir article microtoponymes de Guilvinec]
Saint-Trémeur, une fontaine détruite au sud de la chapelle, côté Kerléguer, sur le chemin.
Saint-Trémeur, une fontaine existante, récemment rénovée et enjolivée, alimentait le hameau de Prat-an-Ilis.
La fontaine de Saint-Trémeur
Une autre fontaine située sur le territoire de Plomeur est très voisine de Guilvinec : celle de Lagat-Yar.
Une légende liée à la présence d’une résurgence
Comme pour la ville d’Ys, mais à plus petite échelle, une anecdote lie à la montée des eaux une cérémonie druidique ancienne qui aurait perduré jusqu’au XVIIIe siècle. Un lieu de culte très ancien serait donc situé dans la baie de Men-Meur où serait englouti un site mégalithique, sans doute, près d’une source ou d’une fontaine. Albert Clouard rapporte cette légende :
« Par les temps clairs, entre Guilvinec et Penmarc’h, on voit à travers les vagues de larges tables de pierre qui n’étaient autre, prétend-on, que les autels de la cité détruite. Il y a un demi-siècle, les prêtres, accompagnés de toutes les barques du rivage, allaient chaque année en bateau dire la messe au-dessus de ces ruines. »
Sébillot, rajoute, citant Cambry : « Avant 1789, le clergé allait en procession au dolmen de Sainte-Madeleine (Charente-Inférieure), et, vers la même époque, on disait la messe en bateau, au-dessus de pierres druidiques, que l’on apercevait, à quinze pieds sous l’eau, entre Le Guilvinec et Penmarc’h. »
Si l’on observe bien la carte marine du SHOM, on peut distinguer une confluence d’anciens ruisseaux sous la mer. Elle coïnciderait avec la résurgence d’une ancienne source que cite Mireille Andro dans son mémoire. Elle pourrait se situer au sud de Toul ar Ster, vers Groaik6 ar Ster près du point : 47 47 33 N, 04 19 05 W.
1 Andro Mireille Les fontaines dans le sud-ouest du pays bigouden (Le-Guilvinec, Penmarc’h, Treffiagat-Lechiagat, Saint-Jean-Trolimon, Plomeur, Treguennec) 1994.CRBC Cote: M-05979-00
2 Eteule, partie du chaume, passée sous la lame de la faux ou de la moissonneuse, qui reste fixée à la terre après la moisson. Wiktionnaire
6 Gwrac’h : vieille femme ou, dans les légendes, sorcière ou sirène.
« Sera réputé bord et rivage de la mer tout ce qu’elle couvre et découvre pendant les nouvelles et pleines lunes, et jusques où le grand flot de mars se peut étendre sur les grèves. » (Ordonnance de 1681)
Le littoral est une frontière physique et biologique offrant des ressources primaires spécifiques1: ressources minérales (sables, granulats, maërl…), végétales (algues), halieutiques, salicoles … , à partir desquelles se sont développées des activités de pêche maritimes (côtières et lointaines), d’aquaculture, de saliculture, de récolte d’algues, de services liés aux pêches, et en aval des industries de transformation des produits de la mer (salage du poisson, pressage des sardines puis conserveries au XIXe siècle).
En Bretagne
L’usage traditionnel des algues en Bretagne, attesté au Moyen-Âge est certainement antérieur. Les saints bretons venus de Grande-Bretagne évangéliser la péninsule armoricaine dès les Ve et VIe siècles auraient « apporté avec eux l’usage des algues (pour se chauffer, se nourrir, engraisser les terres) ». Il est néanmoins probable que les algues aient été utilisées dès le Néolithique par les populations littorales trouvant sur les grèves une ressource facilement accessible et exploitable. L’usage domestique des algues est lié au mode vie des populations côtières, souvent paysans et marins. Celui-ci procède d’une économie mixte, relativement pauvre, qui s’équilibre par une exploitation conjointe des ressources maritimes et agricoles.
Des usages variés des algues
Le goémon récolté est trié, séché ou brûlé avant d’être utilisé :
comme engrais, le bezhin du (goémon noir),
comme aliment pour les animaux, le bezhin saout (goémon à vaches),
comme combustible.
Ramassé sur les grèves puis séché, il constituait une réserve pour l’hiver.
Les premiers usages industriels des algues en Bretagne remontent au XVIIe siècle. La production de soude (carbonate de sodium) à partir des cendres d’algues destinée à la fabrication de verre fut bientôt suivie par la production d’iode destinée à l’industrie pharmaceutique au XIXe siècle. Il n’y a pas de tradition alimentaire humaine connue liée aux algues en Bretagne
A noter2, la place centrale qu’occupe le goémon en tant qu’engrais. L’activité de ramassage de goémon apparaît dans 5 inventaires après décès de Plomeur : charretées de « fumier de grève », appellation du goémon-épave. Le goémon y est mentionné sous deux formes : vert (mouillé) et sec, trois fois plus cher. Les 5 possesseurs de goémon ont une fortune mobilière nettement supérieure à la moyenne.
Quel usage pour ces algues ?
Le Dictionnaire historique et géographique de Bretagne (Ogée) précise que « les engrais de mer permettent à l’agriculteur [sur la côte] de récolter encore quelque blé. (…) Ils sont les seuls usités, car ceux des animaux domestiques sont employés comme combustibles. » Pour comprendre son utilité, il suffit de se référer à l’importance que revêt le collectage de goémon en tant que fertilisant des terres et à tous les conflits nés de cette nécessité, ainsi que toutes les réglementations successives édictées depuis le Moyen-Âge. En breton bigouden, on emploie d’ailleurs indistinctement le mot teilh pour désigner le fumier d’origine animale et les algues.
Des réglementations pour la récolte et la coupe
En 18583, le Commissaire de l’Inscription maritime autorise les cultivateurs à récolter le goémon. En effet, elle « présente un intérêt incontestablement supérieur pour l’agriculture en ce sens que la fertilité des terres situées sur le littoral dépend uniquement de l’emploi comme engrais de cette plante. » Ils peuvent se servir d’une embarcation sans voiles ni mât et sans rôle d’équipage, à condition de ne pas en faire usage 10 fois dans l’année. Cette récolte doit demeurer restreinte et temporaire, sans aucun but de lucre et de spéculation. Condition expresse : cueillir le goémon et l’enlever avant la nuit et ne l’employer que sur leur exploitation. Par contre, tous ceux qui se serviront d’une embarcation et qui en feront un commerce seront soumis à l’Inscription maritime et obligés à prendre un rôle d’équipage.
À Plomeur et Guilvinec
Sous le Second Empire, à Plomeur, on ne coupe pas le goémon de rive pour servir d’engrais ; on n’emploie pour cet usage que le goémon d’épave que l’on trouve en toute saison. Le goémon de rive, c’est la classe pauvre qui le coupe pour être séché et servir de bois de chauffage. Deux coupes sont programmées dans l’année, celle de printemps (avril-juin) et celle d’automne (septembre-octobre). Quelques inscrits maritimes se servent d’embarcations pour récolter le goémon poussant en mer.
Four à soude dans les dunes de la Torche
Une activité de brûlage des algues pour la fabrication de soude existe également sur la commune. L’incinération est généralement concentrée sur la côte de la Baie d’Audierne. Sur une carte de la pointe de la Torche datant de 1868, on peut compter pas moins de 24 fourneaux (fours) à soude. Quelques autres existaient aussi sur la dune de Guilvinec (le dernier encore visible se situe à Men-Meur). « Pour cette opération, une fosse peu profonde est creusée dans le sol et garnie de dalles de granit sur les côtés et au fond. Elle sert plus ou moins longtemps, puis elle est abandonnée par celui qui l’a faite et qui va en établir une autre un peu plus loin. Ces « établissements » sont très nombreux et, en raison de leur mobilité, il est impossible d’en déterminer le chiffre. »
Cette nouvelle pratique n’est pas sans poser de problèmes de concurrence, car l’incinération diminue naturellement les quantités de goémon pour fumer la terre. Pour le Commissaire, il en résulte trois types d’intérêts qu’il faut concilier :
L’agriculture, qui prime sur tous les autres
L’industrie (de la soude) qui prend chaque jour de nouveaux développements
L’intérêt d’une nombreuse population indigente qui trouve dans l’incinération une ressource précieuse.
La fumée, source de gêne
Le 11 novembre 1864, le guetteur du poste électro-sémaphorique de Penmarc’h porte plainte auprès des autorités maritimes contre les brûleurs de goémon. En effet, lors de l’incinération, les fumées de six fours à soude installés à Saint-Pierre occasionnent une gêne importante pour la visibilité des navires. L’inconvénient le plus grave de cet écran de fumée serait de les empêcher de reconnaître la pointe et l’entrée du port par temps calme.
Ba’ ma c’harter, anv ar faktour (paotr al lizhiri) oa Larzul. Ya, Larzul, evel fourmaj Ploneour, kenstriver hini Pouldreuzig, gwall anavezet gant ar vartoloded.
Ur paotr mat e-touez ar baotred vat e oa eñ. Hag hiriv c’hoazh. Un den chik, me lâr deoc’h !
Met kalite kentañ paotr al lizhiri oa ar fent e rae gant ar re all, an divegadoù goapaer-dic’hoarzh hag a laoske divouezh ar re a grede serriñ e veg dezhañ.
E-touez ar re-mañ e oa teir vaouezh enorus, deuet d’un oad doujadus ha blije kalz dezhe gervel ar farser-se.
Teodoù fall, goaparezed, konchennerezed-tout ar re-mañ! Met diwall da begadoù lemm paotr an arzh al lizhiri !
Setu an den o erruout evel boas war e varc’h-houarn er straed, war-zu unnek eur d’ar vintin, d’ar 28 a viz Kerzu. Evel ma n’eo ket re fall an amzer, emaint dija an teir flaperezed aze war ar riblenn o c’hortoz anezhañ. Hag araok n’ije eñ kroget da lakaat al lizhiri b’ar vouestoù, ur bern goulennoù a zeue maez d’o genoù gante.
— Penaos ‘mañ kont ganeoc’h, Aotrou Laer Zul ?
— Ac’hanta, Aotrou farser, keloù mat ‘zo ganeoc’h ?
— Ha neuze, Aotrou fakturer, leun a zraoù ez eus c’hoazh da baeañ ?
— Un istorig ho p’eus da gontañ deomp ?
— Klevet p’eus keloù nevez ba’ kreizker ?
Laosk a ra ar farser ar flaperezed o c’hanañ o kantikoù hag eñ en ur gemerañ ur min benniget, gant ar mennozh da c’hoari dezhe un taol fin diouzh e c’hiz.
— Gwelet vez ’z eus kalz startijenn ganeoc’h ar mintin-mañ ! Mod pe vod gobari yac’h-pesk oc’h, ar pezh n’eo ket gwir gant tout an dud !
— O ma ! Unan bennak a anavezomp ?
— Gwelet ‘vo ma’ moc’h ken fin hag ‘vez soñjet ganeoc’h. Klevet ’m eus ur c’heloù fall o tont deus tu Men-Meur.
— Ha piv eo ?
— N’ho peus ket gouezet ? Fall eo an traoù gant Tan’ Fine. Koulz emañ hi o vont da vervel !
— Piv eo Fine ?
— Fine piv ?
— Gant piv emañ e gwaz b’ar mor ?
— Fine deus Penn-an-Hent ? Emañ aet pell ganti ?
— Ma ! Ur sapre vandennad hini sot emaoc’h ! Soñjit ‘ta ! Soñjit un tammig araok lavar forzh petra, kwa ! A-benn tri devezh, e vo fin ar bloaz ha rag-se Tan’ Fine zo o vont da witaat ac’hanomp !
Ha tri sapre inosantez emaoc’h, c’hwi ! N’eus ket unan evit saveteaat ar re all !
Dreist-holl pa vez hiriv an 28 a viz Kerzu, devezh gouel an Inosanted ! C’hwi oar mat !
Il ne reste malheureusement plus de témoins de l’utilisation des noms des nombreuses petites parcelles (microtoponymes) qui composaient anciennement le territoire de Guilvinec, faute d’usage quotidien pour désigner ces lieux fréquentés pour le travail des champs essentiellement ainsi que pour la connaissance des propriétaires répertoriés au cadastre1. Celui-ci nous révèle cependant environ 150 noms, essentiellement en langue bretonne et quasiment tous perdus aujourd’hui. La consultation de ce document est un vrai régal concernant la profusion de façons de nommer les parcelles, avant que n’apparaissent les noms de rues – dans les années 1920 – en se basant sur l’observation de la nature et du paysage façonné par l’homme. Un patrimoine imagé et informatif essentiellement oral qui ne pouvait que s’accompagner d’un travail de mémorisation pratiqué au quotidien ! Un vrai lexique que cette collection de noms !
Il ne reste malheureusement plus de témoins de l’utilisation des noms des nombreuses petites parcelles (microtoponymes) qui composaient anciennement le territoire de Guilvinec, faute d’usage quotidien pour désigner ces lieux fréquentés pour le travail des champs essentiellement ainsi que pour la connaissance des propriétaires répertoriés au cadastre1. Celui-ci nous révèle cependant environ 150 noms, essentiellement en langue bretonne et quasiment tous perdus aujourd’hui.
Autrefois, chaque crique (porzh), chaque rocher (maen ou karreg) possédait son appellation propre. La plupart ont aujourd’hui disparu sous les aménagements portuaires récents ou ne sont plus usités.
Les toponymes bretons sont le plus souvent composés de deux éléments : un premier élément descriptif sert à désigner un objet, le second élément détermine l’objet en question.
Ils sont classés ci-dessous, dans leur transcription originale (AD 29 3 P 75/3 Cadastre de Guilvinec de 1880), à partir du premier nom et sont suivis de leur orthographe bretonne normalisée du XXIe siècle, suivie de leur traduction française, dont quelques-unes peuvent être approximatives (?), car certains noms ne figurent dans aucun dictionnaire.
L’étude des noms de lieux, de leur origine, de leurs rapports avec les langues parlées ou disparues nous livre de précieuses informations quant à l’évolution des relations entre les sociétés et leur environnement. La toponymie est l’empreinte d’un peuple sur son territoire, son identité ; elle décrit un milieu plus ou moins façonné par l’homme, c’est un véritable trésor linguistique.
« Or si un toponyme doit permettre d’identifier très précisément un détail géographique localisé, il n’a pas été attribué par l’homme de façon arbitraire, mais dans un souci de description du paysage et d’évocation des activités que les habitants y exerçaient1. »
La toponymie n’étant pas une science exacte il faut se garder, qui que l’on soit, de prétendre tout expliquer. Néanmoins je me suis attaché à donner les éléments d’explications qui me semblaient les plus probables en l’état actuel des connaissances et d’un certain « bon sens » quant à l’observation objective du paysage.
Carte de 1866, AD 29
Guilvinec, plusieurs versions
Ar Gelveneg est le nom breton du village originel qui est devenu commune le 6 avril 1880 sous le nom de Guilvinec. Le nom « Le Guilvinec », même s’il est passé dans l’usage, n’a jamais été et n’est pas son nom officiel.