Mes 10 km – avril 2021 – # 24

En guise de conclusion, je voudrais remercier toutes les personnes que j’ai rencontrées les promeneurs, randonneurs, cyclistes ou habitants lors de ce périple et avec lesquelles j’ai pu m’entretenir de sujets divers en lien avec le lieu ou autres.

La famille habitant le nord de Saint-Renan qui ne pouvait pas aller au bord de la mer

L’ancien gardien de but du Stade brestois et son épouse.

Le médecin retraité qui connaissait Jakez Cornou et qui, avec son épouse, a créé un joli jardin plein de fruits et de couleurs au bord de l’Elorn.

Le monsieur né près du manoir de Poul ar Vilin qui m’a raconté le mystère de l’assassinat de l’ancien Préfet maritime pendant la guerre.

Le jeune chiot berger blanc suisse en promenade avec ses jeunes patrons dans la vallée du Cam.

Le pêcheur à la ligne expérimenté qui taquinait la carpe depuis 6 h du matin à Bourg Blanc.

Le jeune pêcheur à la ligne de Pontavennec.

Le pêcheur à la ligne pour qui c’était une première fois.

L’ancienne collègue que je n’ai pas reconnue avec son chapeau ses lunettes noires et son masque.

Le voisin de la fontaine de Plouzané.

Le chanteur de la chorale Ruz Boutou et sa femme sur l’ancienne voie du petit train entre Gouesnou et Plabennec.

Les gens du bourg de Milizac qui se sont demandés ce que venait faire ici un touriste avec un appareil photo.

La dame à la voiture blanche qui a fait demi-tour après m’avoir vu faire des photos près d’une porcherie, sans doute pour voir si je n’étais pas un membre de L214.

La petite famille qui m’a laissé photographier le panier de chocolats de Pâques à Saint-Jean.

Le couple de plouzanéens qui m’ont indiqué le belvédère des sablières de Bodonou et sa magnifique vue sur Brest.

Le propriétaire du grand drapeau breton de Penn an Ero qui m’a pris pour un touriste et qui a vite déchanté quand je lui ai dit en breton qu’ici, à Plougastell, on ne dit pas «drapeau breton», mais «gwenn ha du»

Son chat Nougat qui paressait au soleil et qui a quand même fini par tourner la tête vers l’objectif en entendant «Nouga Nouga NougaYork».

Le couple de compatriotes bigoudens VTT sur l’épaule à la pointe de Doubidy.

Et, au même endroit, le papa pêcheur qui apprenait à ses enfants à observer les scarabées.

Les habitants de l’Auberlac’h qui comméraient au milieu de la route et que j’ai interpellés en breton.

Les landernéens venus à 10 km de chez eux jusqu’à Poul ar Vilin, là où nos cercles étaient un peu plus que tangents et dont la fille suivait les cours d’histoire de l’ami Yves Coativy à l’UBO.

Les propriétaires du beau cerisier en fleurs du Questel à Guipavas.

L’entraîneur du club de rugby de Saint-Renan qui a lancé son ballon à la verticale au moment où j’appuyais sur le déclencheur.

Le vieux monsieur de Guipavas qui avait travaillé à Versailles et son petit-fils sous-marinier sur un SNLE, rencontrés aux abords de l’île Ronde.

Le couple de cyclorandonneurs Gouesnousiens vus à Pors ar Vil.

Les plaisanciers du passage qui remettaient leurs bateaux à l’eau à l’aide d’une énorme grue.