Anne Smith et Jean-François Coatmeur, au vernissage de l’expo “25 Figures” à Saint-Marc, il y a une vingtaine d’années. Photo Cl Péron
Le Goéland masqué de Penmarc’h pleure celui qui fut son Président d’honneur pendant une douzaine d’années.
C’est là, à l’école de Saint-Gué et à Cap Caval, au bourg, que j’ai appris à connaître Jean-François Coatmeur.
Lui et sa famille, à qui je pense aujourd’hui.
Je connaissais, pour l’avoir lue, une bonne partie de son oeuvre, mais je n’ai jamais réussi à imaginer comment un homme si gentil pouvait plonger sa plume dans de l’encre si noire.
Je n’ai jamais pu, ni voulu ni su ? tout comme mon ami Hervé Bellec qui m’en a fait la confidence lors d’un salon du livre, tutoyer ce Monsieur, tellement sa personnalité inspirait les respect.
Entendrons-nous encore les Sirènes de minuit dans La nuit rouge de Brest ?
Pour en savoir plus, l’article de Ouest-France