Femme d’une grande sensibilité qu’elle traduisait admirablement dans ses poésies, Brigitte Maillard nous a quittés la semaine passée. J’ai eu l’occasion de la rencontrer à de nombreuses reprises lors des salons du livre “Plumes de paon”, du livre bigouden de Pont-l’Abbé et à Daoulas lors du printemps des poètes organisé par l’association Prim’Vers et prose. Que la poésie lui soit douce pour toujours !
Pour en savoir plus, voir le site du Printemps des poètes